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Sdkfz 253 leichter beobachtungspanzerwagen de Dragon (partie 1)

27 Mars 2016 , Rédigé par sim

Historique :

Le Sdkfz 253 était un véhicule d'observation d'artillerie basé sur le chassis ainsi que la superstructure du sdkfz 250. Il possédait un toit fermé ainsi que des éléments d'observation et de communication renforcés. Initialement dédié aux chefs de pelotons des stug-abteilung et stug-batterien, il équipa progressivement les éléments d'observation des régiments d'artillerie mécanisés et motorisés de l'armée allemande. Il fut produit de 1940 à 1941 à 282 exemplaires avant d'être remplacé par le sdkfz 250/4.

Montage de la maquette :

On commence classiquement par l’assemblage du châssis, du bas de caisse ainsi que le train de roulement.

Tout s’assemble correctement sans souci. Les chenilles magic-track sont montées en s’aidant d’un support-guide en bois. Pour plus de solidité, elles sont mises en forme (partie haute et basse) sur le train de roulement, provisoirement installé, puis scellé à la colle extra fluide.

On poursuit par le montage de l’intérieur avec le plancher, les sièges ainsi que les éléments mécaniques et de transmissions. Là encore, tout s’assemble rapidement et parfaitement.

Les premiers soucis apparaissent avec les 2 parties inférieures de la caisse blindée. Elles sont un peu voilées et s’assemblent mal. De plus, de nombreuses pastilles d’injections sont présentes et nécessitent un gros travail de masticage et de ponçage.

La partie supérieure de la caisse est également montée, et là aussi, on rencontre des problèmes d’assemblages. Il y’a de nombreux jours autour de la plaque de toit ainsi que de grosse pastilles d’injection, nécessitant une bonne dose de mastique et de ponçage.

Les problèmes d’assemblages suivent avec la fermeture, à blanc, de la caisse. En effet, la partie supérieure se fixe très difficilement sur la partie inférieure. En limant progressivement les pièces, on arrive à atteindre un assemblage correct. Il faudra néanmoins mastiquer et poncer abondamment pour obtenir un résultât convaincant lors de la fermeture « réelle » de la caisse du véhicule après la peinture de l’intérieur.

Une fois ces petits soucis surmontés, on peut passer au détaillage du véhicule. Les attaches des outils ainsi que la gouttière de la porte arrière sont fabriquées en feuilles d’aluminium tandis que le support d’antenne et sa protection sont affinés par ponçage. Les phares sont creusés et des lentilles découpées dans du plastique transparent.

J’ai décidé de représenter ce semi-chenillé d’observation toutes trappes ouvertes et de détailler l’intérieur.

Il faut tout d’abord ce munir d’un peu de documentation et faire quelques recherches sur internet pour obtenir des photos et des croquis de l’intérieur du véhicule. Toutes les opérations de détaillages sont faites maison à partir de carte plastique, fil de cuivre et feuille d’aluminium où font encore appel à la boîte à rabiot.

Je commence par ajouter les câbles aux postes radio ainsi qu’aux coffrets électriques. Un coffre de stockage en carte plastique est installé à l’arrière de l’engin tandis que des supports pour les étuis des masques à gaz sont fabriqués. Je rajoute également le support pour les chargeurs circulaires de MG34 et la housse de stockage des chargeurs de MP40. Je termine par la mise en place du coffre de rangement de la binoculaire d’observation, juste derrière le siège du pilote, ainsi que les attaches de la mitrailleuse.

... c'est tout, pour le moment...

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